Atelier de phytogrammage pendant le festival - "Les plantes en images, l’image des plantes"

Organisateur

L'oeil Lucide
Téléphone
06 62 46 33 47
Email
contact@loeillucide.com

Lieu

Local de L'oeil lucide
8 rue du saint suaire - 24480 Cadouin

Date

24/06/23
Expired!

Heure

10 h 00 min - 17 h 30 min

Atelier de phytogrammage pendant le festival – “Les plantes en images, l’image des plantes”

atelier de phytogrammage AU local de L’Œil lucide
avec Marion Guillard

Tout public (accessible aux enfants à partir de 6 ans) / GRATUIT
→ RDV à 10h devant le local de L’œil lucide : 8 rue du Saint suaire (Ancienne école) à Cadouin
Sur inscription à mediation.loeillucide@gmail.com ou au 06.80.62.78.04
Repas du midi tiré du panier, chacun amène quelque chose à partager

 

À partir de plantes, de leur impression sur la pellicule, on réalise un film collectif. Donnez l’opportunité aux plantes de faire leurs propres images : cueillette, immersion, et balade. On fait attention à ce qu’on cueille. Les feuilles et les fleurs cueillies seront utilisées afin qu’elles donnent leur image. Une prairie, nappes, bassines, planche de bois, torchons, ciseaux : on s’installe par terre, chacun fait sa composition et on l’assemble pour créer un film ensemble.

 

« Depuis deux ans, les plantes sont devenues mes collaboratrices. Je mène, à l’École de Recherche Graphique à Bruxelles, un projet de recherche pour développer du film pellicule argentique cinéma uniquement avec des plantes. Ce projet s’implante dans un mouvement de recherche international qui voudrait s’émanciper des chimies traditionnelles. Notre époque est marquée par l’ampleur des actions humaines sur le reste du vivant, des cinéastes s’engagent dans des pratiques écologiques qui tendent à un décentrement du privilège attribué à
l’humain. Le cinéma expérimental se pense comme l’un des moyens de s’ouvrir à la pluralité du vivant, de concevoir le monde comme un réseau interconnecté, de mettre au jour un maillage entre les agents humains et autres qu’humains. Les méthodes de production du film peuvent être le terrain d’une écologie politique : des alternatives artisanales au productivisme, des regroupements en collectifs engagés et écoresponsables, une exploration de procédés comme la phytographie ou l’écodéveloppement. » – Marion Guillard

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